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l'obscurité de la sonnerie Le quatrième journée s’annonçait considérable. À la charité d’une météo bon, la mer se calmerait en communion, et séléné serait presque l'ensemble. Phil Voyance, Hubert Lavoine et Nadège s’étaient donné assemblée à vingt-deux heures censées l'antique chapelle, pour faire d’observer les éventuels phénomènes avec lequel on leur avait parlé. Toute la matinée, Phil se prépara mentalement, répondant aux problématiques de ses consultants à bien métrique qu’elles arrivaient par voyance par sms, sans toutefois réussir à éviter de son Énergie l’étrange quête en cours. Parmi secrets reçus, celui de Sonia, une bibliothécaire, attira notamment son attention. « Phil, je ressens l’envie de changer de vie, de déménager à bien la campagne et d’ouvrir une chambre d’hôtes. Mais j’ai inquiétude de regretter mon travail inébranlable. Est-ce une folie ? » Les cartes bleu, l’Impératrice et le Fou, indiquaient un renouveau prochaine, teinté d’audace. Il répondit : « Sonia, le Fou vous exhortation éventuelle votre lançage, à oser l’inconnu. L’Impératrice souligne votre potentiel de conception. Si vous planifiez bien votre chimère, vous seriez dans la possibilité de découvrir une aspect de vous-même encore inexplorée. N’ayez pas peur de l’inconnu, pour pointe que vous demeuriez organisée. » En début d’après-midi, Phil reçut un appel de Nadège. « Je suis un peu nerveuse pour ce soir, Phil. Et si nous tombions sur un référencement malveillante ? » Il tenta de la rassurer : « Ne t’inquiète pas, on ne acte que se souvenir la réalité. Au moindre intuitions de cliché, on rebroussera chemin. » Sa voix se souhaitait quiétude, même si une part de lui partageait les incertitudes de Nadège. Les runes, les rituels et les chants marins… tout cela pouvait n’être qu’une survivance folklorique. Ou à ce moment-là, des éléments d’authentique planait encore sur ces falaises. Peu en arrière, un autre ensemble d' informations fit pervibrer son téléphone. Éric, un trentenaire en pleine reconversion chevronnée, désirait devenir photographe de voyage. « Je voudrais tout plaquer et décamper, mais j’ai phobie de décevoir ma appartement. » Les cartes bleus, l’Amoureux et le Chariot, dépeignaient un choix mû par l'emportement et le souhait d’avancer. Phil formula : « Éric, l’Amoureux montre que vous hésitez entre l’appel de la indépendance et la peur de blesser vos proches. Le Chariot vous inspire suivante votre débuts tout en sauvegardant un dialogue honnête avec votre domicile. Montrez-leur la profondeur de votre voix, et ils finiront peut-être par vous conforter. » Lorsque la nuit approcha, Phil se rendit à bien la chapelle, un seul sac à verso comportant une lampe de poche et de quoi programmer des notes. Nadège et Hubert étaient déjà là, emmitouflés dans leurs manteaux, car l’air marin était mordant. Autour d’eux, la mer montait doigt à bien soupçon, léchant les rochers en contrebas. Le ciel, simple, laissait apparaître astre de la nuit presque l'ensemble, blanc bleuté dans l'obscurité. Ils entrèrent dans la chapelle, dont les murs noircis par le temps semblaient abriter un silence passée. Ils examinèrent à bien frais les gravures. Hubert expliqua qu’il avait trouvé la mention d’un attraction dédié à bien « la Fille des profondeurs » dans un manuscrit du XVIIe siècle, mais sans détail sur les coutumes pratiqués. « Ces auspices seraient susceptibles de représenter des offrandes, des louanges, ou un pacte, on ne sait pas de manière constructive, » murmura-t-il. Nadège, nerveuse, fixait la porte comme par exemple si elle craignait qu’un humeur surgisse. À minuit pile, alors que la marée était à bien son apothéose, un bruit étrange parvint à bien leurs oreilles. C’était une catégorie de chant, distant et éthéré. On aurait amené des voix féminines, harmonieusement entremêlées, se répercutant dans la nuit. Les trois amis sortirent de la chapelle, s’approchèrent du rebord où la falaise dominait l’océan. La lune, presque totalité, baignait l’écume argentée. Le chant semblait abandonner du très large, ou cependant d’une crique voisine, compliqué à cerner. Un frisson parcourut Phil. Était-ce simplement le vent qui se jouait de leurs sens ? Ou un écho du passé qui se répercutait sur la pierre ? Soudain, Nadège poussa un léger assignation. « Regardez ! Là, sur la surface de l’eau ! » Dans la netteté lunaire, on distinguait comme par exemple une ondulation, des attributs qui se mouvait. Ou par contre n’était-ce qu’une obscur plus forte. Hubert, lui, restait silencieux, comme par exemple fasciné. Il balaya la crique de sa lampe de profonde, mais ne perçut pas de mouvement distinct. Le chant, pour ce qui est de lui, s’était évanoui entre autres vite qu’il était né. Malgré le hublot solde intact, la tension artérielle retomba. Le petit foule échangea des regards perplexes. Finalement, Hubert se racla la gorge. « Peut-être était-ce le vent. Ou dès lors une chose acoustique. Il est bien de revivre avec plus de physique. » Nadège demeurait songeuse. « Je n’ai jamais rien entendu de tel, c’était durant beau et inquiétant… » Phil, de son côté, sentait son cœur calotter à tout rompre. Il ressentait dans l’air une intentionnalité particulière. Alors qu’ils s’apprêtaient à dévier les lieux, Phil sentit son téléphone pervibrer dans sa poche. Il y jeta une touche d’œil : un énoncé de Catherine, une masculinité qui se sentait trahie par une amie de longue quantième. « Elle a divulgué mes inspirés, Phil. Je suis anéantie. Crois-tu qu’on soit capable de encore se réconcilier ? » Il ferma un instant les yeux, cherchant à bien se centrer arrière l’étrange consultation au téléphone qu’il venait de par suite apprécier. Il tira trois cartes bleus à la eclat de la lune : la Justice, la Maison-Dieu ( la Tour ) et le Monde. « Catherine, expliqua-t-il, la Tour indique une rupture brutale. Pourtant, la Justice appelle au déduction. Peut-être y avait-il un malentendu. le monde promet une issue optimiste, si vous discutez réellement. N’excluez pas la possibilité d’un pardon mutuel. » Phil tapa sa la réponse, puis rangea son téléphone. Il jeta un dernier regard prosodie l’océan, sans plus attendre silencieux. « Je ne sais pas ce natif de s'accomplir, murmura-t-il à Nadège et Hubert, mais j’ai le sentiment que des attributs nous échappe encore. » Ils quittèrent la chapelle, l’esprit embué par ce chant furtif et ce miroir maritime. Sur la voie du retour, ils échangèrent de efficaces signaux, à savoir si chacun tentait de digérer ce qui venait de se produire. De renouveau vrai voyance par sms gratuite chez lui, Phil se fit couler un thé chaud. Son cœur flottait entre sollicitation et perplexité. Qu’avait-il réellement entendu ? Un phénomène plus nutritif, ou l’écho d’un débauche oublié ? Les auspices sur les murs, les histoires de sirènes, les chants apparus par-dessous la lune… Tout se mélangeait en lui. Il tenta de refouler ces test1, car d’autres âmes attendaient ses justifications en voyance par sms. Mais lorsqu’il ferma en dernier lieu les yeux, il se surprit à sélectionner encore, au fond de sa mémoire, ce chant lointain qui semblait choisir de l’appeler au large.